#smrgDERGİ Le Monde de la Bible : Histoire Art Archeologie - La Cappadoce Patrimoine Chrétien - N° 142 2002 Avril - Mai 2002
Kondisyon:
Yeni Gibi
Basıldığı Matbaa:
Dizi Adı:
Kargoya Teslim Süresi (İş Günü):
1&3
Hazırlayan:
Cilt:
Amerikan Cilt
Ciltçi:
Koordinatör:
4.95
Boyut:
22x28
Sayfa Sayısı:
74
Basım Yeri:
Paris
Baskı:
1
Basım Tarihi:
2002
Kapak Türü:
Orijinal kapağında
Kağıt Türü:
Kuşe
Dili:
Fransızca
Kategori:
indirimli
147,00
Havale/EFT ile:
142,59
Stoktan teslim
1199014247
400394
https://www.simurgkitabevi.com/le-monde-de-la-bible-histoire-art-archeologie-la-cappadoce-patrimoine-chretien-n-142-2002-avril-mai-2002
Le Monde de la Bible : Histoire Art Archeologie - La Cappadoce Patrimoine Chrétien - N° 142 2002 Avril - Mai 2002 #smrgDERGİ
147.00
Terre de culture hellénistique très tôt christianisée, la Cappadoce fut un foyer de réflexion théologique. À partir de cette région de l'Empire romain, trois évêques, Basile de Césarée, Grégoire de Nysse et Grégoire de Nazianze ont jeté les bases du monachisme oriental, tout en prenant part aux débats sur la Trinité. Le Monde de la Bible vous invite à découvrir la Cappadoce, célèbre pour son décor naturel et ses vestiges paléochrétiens, qui fut au centre de l'hérésie arienne puis de la querelle iconoclaste.
L'expression “Pères cappadociens” sonne comme une promesse de mystère et de merveilleux. Des ermites barbus se lèvent, dans une région qu'il est souvent difficile de situer sur une carte, au cœur du plateau anatolien, même si elle est désormais une destination touristique réputée. Basile de Césarée, Grégoire de Nazianze, Grégoire de Nysse ont enraciné là, au IVe siècle, un christianisme original, mêlant l'exigence mystique à un sens profond de la poésie.
Mais ces Pères cappadociens n'étaient pas des êtres éthérés dénués de tout souci mondain. Ils surent, lorsque ce fut nécessaire, prendre leur part à la lutte contre l'hérésie d'Arius, qui ravageait alors l'Empire romain. La manière dont ils ont exprimé leur culture théologique, leur rigueur et leur goût de la contemplation amène pourtant à se demander si certains paysages ne forcent pas l'âme au dépassement et à la beauté. Le terroir de Cappadoce, tourmenté, hérissé de pics et de cônes, entaillés de vallées et de falaises, a “produit” des mystiques avant même le christianisme, comme le rappelle ici Marie-Françoise Baslez. Et une fois la province islamisée, les princes musulmans y multiplièrent oratoires et fondations pieuses. Cette terre a aussi inspiré des artistes qui ont bâti et décoré des églises et des monastères sublimes, que quelques téméraires s'emploient aujourd'hui à sauver, et qui témoignent d'une foi peu ordinaire. Parcourir la Cappadoce, c'est découvrir une spiritualité et des formes de la représentation du divin dont la culture occidentale a souvent dédaigné l'héritage. Les redécouvertes du présent peuvent n'être qu'un effet de mode. Elles peuvent être aussi une incitation à connaître cette tradition d'Orient qui est avec sa sœur d'Occident, selon une belle image, comme les deux poumons de la chrétienté.
Présentation par Maurice Sartre
La Cappadoce hellénistique par Maurice Sartre
Numismatique royale par Marie-Christine Marcellesi
Une terre mystique par Marie-Françoise Baslez
Grégoire de Nazianze dans la tourmente théologique par Jean Bernardi,
propos recueillis par Sophie Laurant
Basile de Césarée, le combat contre l'arianisme par Sophie Métivier
De l'ermitage au monastère par Catherine Thirard
La querelle des images, 730-843 par Marie-France Auzépy
Une église de Cappadoce, Meryemana Kilise par Sophie Laurant
L'expression “Pères cappadociens” sonne comme une promesse de mystère et de merveilleux. Des ermites barbus se lèvent, dans une région qu'il est souvent difficile de situer sur une carte, au cœur du plateau anatolien, même si elle est désormais une destination touristique réputée. Basile de Césarée, Grégoire de Nazianze, Grégoire de Nysse ont enraciné là, au IVe siècle, un christianisme original, mêlant l'exigence mystique à un sens profond de la poésie.
Mais ces Pères cappadociens n'étaient pas des êtres éthérés dénués de tout souci mondain. Ils surent, lorsque ce fut nécessaire, prendre leur part à la lutte contre l'hérésie d'Arius, qui ravageait alors l'Empire romain. La manière dont ils ont exprimé leur culture théologique, leur rigueur et leur goût de la contemplation amène pourtant à se demander si certains paysages ne forcent pas l'âme au dépassement et à la beauté. Le terroir de Cappadoce, tourmenté, hérissé de pics et de cônes, entaillés de vallées et de falaises, a “produit” des mystiques avant même le christianisme, comme le rappelle ici Marie-Françoise Baslez. Et une fois la province islamisée, les princes musulmans y multiplièrent oratoires et fondations pieuses. Cette terre a aussi inspiré des artistes qui ont bâti et décoré des églises et des monastères sublimes, que quelques téméraires s'emploient aujourd'hui à sauver, et qui témoignent d'une foi peu ordinaire. Parcourir la Cappadoce, c'est découvrir une spiritualité et des formes de la représentation du divin dont la culture occidentale a souvent dédaigné l'héritage. Les redécouvertes du présent peuvent n'être qu'un effet de mode. Elles peuvent être aussi une incitation à connaître cette tradition d'Orient qui est avec sa sœur d'Occident, selon une belle image, comme les deux poumons de la chrétienté.
Présentation par Maurice Sartre
La Cappadoce hellénistique par Maurice Sartre
Numismatique royale par Marie-Christine Marcellesi
Une terre mystique par Marie-Françoise Baslez
Grégoire de Nazianze dans la tourmente théologique par Jean Bernardi,
propos recueillis par Sophie Laurant
Basile de Césarée, le combat contre l'arianisme par Sophie Métivier
De l'ermitage au monastère par Catherine Thirard
La querelle des images, 730-843 par Marie-France Auzépy
Une église de Cappadoce, Meryemana Kilise par Sophie Laurant
Terre de culture hellénistique très tôt christianisée, la Cappadoce fut un foyer de réflexion théologique. À partir de cette région de l'Empire romain, trois évêques, Basile de Césarée, Grégoire de Nysse et Grégoire de Nazianze ont jeté les bases du monachisme oriental, tout en prenant part aux débats sur la Trinité. Le Monde de la Bible vous invite à découvrir la Cappadoce, célèbre pour son décor naturel et ses vestiges paléochrétiens, qui fut au centre de l'hérésie arienne puis de la querelle iconoclaste.
L'expression “Pères cappadociens” sonne comme une promesse de mystère et de merveilleux. Des ermites barbus se lèvent, dans une région qu'il est souvent difficile de situer sur une carte, au cœur du plateau anatolien, même si elle est désormais une destination touristique réputée. Basile de Césarée, Grégoire de Nazianze, Grégoire de Nysse ont enraciné là, au IVe siècle, un christianisme original, mêlant l'exigence mystique à un sens profond de la poésie.
Mais ces Pères cappadociens n'étaient pas des êtres éthérés dénués de tout souci mondain. Ils surent, lorsque ce fut nécessaire, prendre leur part à la lutte contre l'hérésie d'Arius, qui ravageait alors l'Empire romain. La manière dont ils ont exprimé leur culture théologique, leur rigueur et leur goût de la contemplation amène pourtant à se demander si certains paysages ne forcent pas l'âme au dépassement et à la beauté. Le terroir de Cappadoce, tourmenté, hérissé de pics et de cônes, entaillés de vallées et de falaises, a “produit” des mystiques avant même le christianisme, comme le rappelle ici Marie-Françoise Baslez. Et une fois la province islamisée, les princes musulmans y multiplièrent oratoires et fondations pieuses. Cette terre a aussi inspiré des artistes qui ont bâti et décoré des églises et des monastères sublimes, que quelques téméraires s'emploient aujourd'hui à sauver, et qui témoignent d'une foi peu ordinaire. Parcourir la Cappadoce, c'est découvrir une spiritualité et des formes de la représentation du divin dont la culture occidentale a souvent dédaigné l'héritage. Les redécouvertes du présent peuvent n'être qu'un effet de mode. Elles peuvent être aussi une incitation à connaître cette tradition d'Orient qui est avec sa sœur d'Occident, selon une belle image, comme les deux poumons de la chrétienté.
Présentation par Maurice Sartre
La Cappadoce hellénistique par Maurice Sartre
Numismatique royale par Marie-Christine Marcellesi
Une terre mystique par Marie-Françoise Baslez
Grégoire de Nazianze dans la tourmente théologique par Jean Bernardi,
propos recueillis par Sophie Laurant
Basile de Césarée, le combat contre l'arianisme par Sophie Métivier
De l'ermitage au monastère par Catherine Thirard
La querelle des images, 730-843 par Marie-France Auzépy
Une église de Cappadoce, Meryemana Kilise par Sophie Laurant
L'expression “Pères cappadociens” sonne comme une promesse de mystère et de merveilleux. Des ermites barbus se lèvent, dans une région qu'il est souvent difficile de situer sur une carte, au cœur du plateau anatolien, même si elle est désormais une destination touristique réputée. Basile de Césarée, Grégoire de Nazianze, Grégoire de Nysse ont enraciné là, au IVe siècle, un christianisme original, mêlant l'exigence mystique à un sens profond de la poésie.
Mais ces Pères cappadociens n'étaient pas des êtres éthérés dénués de tout souci mondain. Ils surent, lorsque ce fut nécessaire, prendre leur part à la lutte contre l'hérésie d'Arius, qui ravageait alors l'Empire romain. La manière dont ils ont exprimé leur culture théologique, leur rigueur et leur goût de la contemplation amène pourtant à se demander si certains paysages ne forcent pas l'âme au dépassement et à la beauté. Le terroir de Cappadoce, tourmenté, hérissé de pics et de cônes, entaillés de vallées et de falaises, a “produit” des mystiques avant même le christianisme, comme le rappelle ici Marie-Françoise Baslez. Et une fois la province islamisée, les princes musulmans y multiplièrent oratoires et fondations pieuses. Cette terre a aussi inspiré des artistes qui ont bâti et décoré des églises et des monastères sublimes, que quelques téméraires s'emploient aujourd'hui à sauver, et qui témoignent d'une foi peu ordinaire. Parcourir la Cappadoce, c'est découvrir une spiritualité et des formes de la représentation du divin dont la culture occidentale a souvent dédaigné l'héritage. Les redécouvertes du présent peuvent n'être qu'un effet de mode. Elles peuvent être aussi une incitation à connaître cette tradition d'Orient qui est avec sa sœur d'Occident, selon une belle image, comme les deux poumons de la chrétienté.
Présentation par Maurice Sartre
La Cappadoce hellénistique par Maurice Sartre
Numismatique royale par Marie-Christine Marcellesi
Une terre mystique par Marie-Françoise Baslez
Grégoire de Nazianze dans la tourmente théologique par Jean Bernardi,
propos recueillis par Sophie Laurant
Basile de Césarée, le combat contre l'arianisme par Sophie Métivier
De l'ermitage au monastère par Catherine Thirard
La querelle des images, 730-843 par Marie-France Auzépy
Une église de Cappadoce, Meryemana Kilise par Sophie Laurant
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